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On ne cherche pas toujours à être compris quand on écrit, mais, plus certainement, à ne pas l'être...
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Catégorie : amour

On ne cherche pas toujours à être compris quand on écrit, mais, plus certainement, à ne pas l'être...
VIP-Blog de pomdapi-copyright
  • 6 articles publiés dans cette catégorie
  • 12 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 23/08/2007 19:57
    Modifié : 08/07/2008 22:13

    Fille (19 ans)
    Origine : Rennes
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    [ nouvelles ] [ divers ] [ commited ] [ moidabord ] [ amour ] [ galerie photo ] [ diary ]

     

    Bonne lecture

    06/06/2008 15:43



    Ce soir je veux écrire ces mots que j’n’ai pas dits

    Que je r’tourne dans ma tête comme des steacks mal saisis

    Et que je vomis seule plantée face au miroir

    Ces paroles évidées auxquelles j’n’ai jamais cru

    Ces mots bien trop épais qu’on découpe au hachoir

    Et qu’on jette en pitance au hasard des rues en fins lambeaux d’espoir

    Ces mots que mon stylo se trouve encore la force de faire couler

    Sur ces surfaces trop blanches que je veux faire saigner,

    Car moi je suis anhydre

    Moi qui n’ai plus de salive pour t’cracher au visage

    Et qui manque de larmes pour tremper l’oreiller

    Ce soir je veux écrire ces mots trop compliqués

    Passés dans trop de bouche, pétris par trop de langue

    Et qui sont sans saveur posés sur mes lèvres qui n’osent pas les goûter

    Que j’épelle à l’envers pour en perdre le sens

    Ces mots qui me dégoûtent, ceux qu’on désarticule jusqu’à l’écartèlement

    Ces mots aux membres épars aux lettres éclatées

    qui ne veulent plus rien dire

    Et gardent le silence, recluses dans leur mutisme

    en serrant ce bâillon qui me somme de taire ces poèmes étranglés

    Que je connais par cœur puisqu’ils étaient pour toi

    Que je les murmurais dans le creux d’un mouchoir

    c’est moi cette cavité misérable et flétrie

    Ballotté par le vent dans une main maladroite

    Un mouchoir triste et sale qui veut juste éponger une de tes caresses

    Sentir sur son tissu une chair douce et moite

    S’en gonfler un instant pour respirer encore

    Le temps d’une bouffée d’air reprendre enfin mon souffle

    Car j’ai le souffle court... un souffle au cœur !connard!

    Oui je veux respirer mais il y a ton odeur qui me colle à la peau

    Et je bouffe mes peaux mortes qui tombent doucement

    Comme on se ronge les ongles quand ils deviennent trop longs

    Pour limer cette angoisse qui croit à l’intérieur et racle mes entrailles

    Comme on creuse un caveau, où tu pourras jeter ma carcasse encore tiède

    Puisque je crève déjà de trop t’imaginer

    Comme toutes ces histoires qui alors qu’elles commencent ont déjà une fin,

    Une faim qui tord le ventre, qui écoeure et affame

    Point d’oreille au ventre affamé

    et je n’veux rien entendre de tous tes silences

    Qui pétrissent mes viscères et assèchent mes yeux

    Mes yeux trop grands ouverts qui traquent tes regards

    et dès qu'ils en tiennent un

    se referment alors pour garder ce souvenir au fond de leur rétine

    Et j’avance en aveugle avec pour seule béquille tes sourires esquissés

    Je vais m’casser la gueule mais c’est ce qui arrive quand on est estropié, quand on est amputé

    Il me manque un organe dont tu m’auras privé sans aucune permission

    Que j’irai t’arracher à coup de mots blessants

    de palabres tranchant comme des lames de rasoirs

    Si c’est ça qu’il me reste,

    tous ces mots ces non dits qui croupissent dans ma tête

    Ces poignards aiguisés que j’affûte avec soin sur mes pierres d’amertume

    Que je lancerai de loin craignant le cœur à corps

    Mon cœur je le garde, ce moignon de caillasse

    Quand il faudra t’achever et t’exploser la tête d’un jet bien maîtrisé

    Pour repeindre les murs de ma chambre ternie par toutes ces cartes postales que tu n’as pas écrites

    Que j’ai inventées seule pour nous faire voyager, et que pour toi j’existe

    Ce soir je veux écrire tous ces mots qui macèrent sur ma langue pétrifiée

    Alors….Bonne lecture mon amour

    Puisque je suis aphone et toi complètement sourd

     

     

     

     

     





     


     

    histoire à pas dormir du tout

    23/09/2007 21:31

    histoire à pas dormir du tout


    C’est l’histoire du ptit chap’ron rouge qui flash sur le grand méchant loup

     

    C’est une histoire un peu bizarre de personnages qu’on rien à voir

     

    De deux gens qui ont rien vu v’nir

     

    Une histoire dingue de skizofrène : un côté blanc, un côté noir

     

    Le côté obscure de la force : un corps au cœur tremblant de haine

     

    Un œil bon sous ses lunettes noires et une croix gammée sur son torse

     

    C’est l’histoire d’un coup d’soleil, un été sur la côte d’azur

     

    Ou peut-être d’une insolation, sa tête brûle sous sa capeline

     

    Tout feu tout flamme, ici la mer est bleue Marine

     

    Et la région est bleu, blanc, rouge

     

    Bien qu’autour de la baie des anges, on aime pas tant qu’ça la couleur…

     

    Le chaperon rouge est consterné : cette animosité le peine

     

    Mais faut dire que sous sa cape rouge, il croit plus trop au communisme

     

    Quand l’grand loup noir lui tape dans l’œil

     

    Un beau guerrier au crâne luisant

     

    Avec une croix en pendentif et une paire de rangers en cuir

     

    C’est l’histoire d’un amour d’été

     

    L’histoire d’amour apolitique de la ptite fille et du skinhead

     

    Ça peut vous paraître atypique, mais comme la meilleure façon de marcher

     

    C’est toujours la même rien d’sorcier

     

    Et la meilleure façon d’baiser,

     

    C’est l’un dans l’autre

     

    Et l’un dans l’autre ils se taisent et écoutent

     

    Ecoutent les souffles et les cœurs battre

     

    Et l’un contre l’autre ils se parlent

     

    Mais n’écoutent plus, veulent pas s’entendre

     

    Face à face ils parlent de paix

     

    Elle voit la paix d’toutes les couleurs

     

    Lui voit la paix noirs contre blancs

     

    Elle voudrait la paix dans les cœurs :

    Trop facile de croire au bonheur puisque ça tient à rien

     

    Lui veut la paix pour sa patrie :

    Les turcs en Turquie, les Algériens en Algérie,

     

    Les noirs dehors !

     

    Elle pense qu’on pourrait vivre ensemble,

     

    Enfin… les uns à côté des autres

     

    Que l’problème vient pas des pigments

     

    Mais qu’à vivre les uns sur les autres on arrive plus à s’supporter

     

    Faudrait qu’chacun ait son espace pour apprendre à se rencontrer

     

    C’est l’histoire d’un drôle de rencontre

     

    L’histoire d’une fille un peu spéciale

     

    Un peu larguée, seule sur la terre

     

    Qui rêve juste de visages nouveaux, et d’un peu d’aventure

     

    Pourvu qu’elle oublie ce qu’elle fout puisqu’elle sait même pas où elle va

     

    L’histoire d’une fille un peu troublante, un peu troublée

     

    Et d’un idéaliste violent, très décourageant

     

    Mais pas découragé : il s’prépare pour la guerre civile

     

    Attend sa troisième guerre mondiale

     

    Teintée de folklore barbare comme à l’âge des templiers

     

    Où on massacrait des arabes pour une parcelle de boue séchée

     

    Puisqu’on plante encore des drapeaux, sur la Lune , sous les océans

     

    Là-dessus au moins, ils sont d’accord : « Fuck policy ! »

     

    La démocratie c’est du flan, les politiciens du flanby :

     

    On gobe tout puis on recrache

     

    Ca s’appelle le pacte social : et on tombe tous dans l’panneau (faute à Rousseau)

     

    Le nez dans le ruisseau…

     

    C’est une histoire du temps qui coule, qui coule à pic quand ya du fond,

     

    Qui coule des yeux quand on perd pied, alors ils jouent à se noyer,

     

    Balancent des bouteilles à la mer

     

    Et plongent leurs yeux dans le ciel noir, avec aux lèvres un goût de sky

     

    Ensemble ils comptent les étoiles, puisque faut pas compter sur elles

     

    L’étoile du Berger la putain a laissé se perdre l’agneau tourmenté

     

    Parce qu’il est bon le grand skinhead, c’est pas un vrai grand méchant loup

     

    Faut croire qu’il était trop sensible, on l’a brimé, tondu à blanc

     

    On a volé son chaud manteau, où il gardait ses vœux, ses rêves,

     

    Lui reste plus pour vivre encore, que cette épaisse toison de haine  

     

    Puisque l’espoir en lui est mort, qu’il est dur et froid comme sa lame

     

    Il préfère les convictions, mourir pour la cause qu’il défend

     

    Ne pas se poser de questions, vivre pour ça en attendant

     

    C’est une histoire qui s’passe la nuit, au clair de lune au bord d’une plage

     

    Une histoire à dormir debout, à rester droits, bien éveillés

     

    A suivre la bordure du trottoir d’une démarche chaloupée.

     

    Histoire à pas dormir du tout et attendre le jour se lever

     

    En se saoulant pour oublier qu’on devrait être à la maison et penser à demain

     

    C’est une histoire comme y’en a d’autres, celle du skinhead et d’une ptite fille

     

    Une histoire où on boit, boit, boit,

     

    Où on s’enivre du temps qui coule

     

    Et où demain n’existe pas

     

     

     

     







     


     

    comme un haut le coeur

    26/08/2007 17:35



    J’ai l’mal de mer

    L’cœur qui chavire

    Vite toucher terre

    J’crois qu’vais vomir

    J’me suis faite avoir une fois de plus

    A ces trucs bateau j’y ai cru

    A tes regards à tes paroles

    Que des mensonges, des fariboles

    Des salades pour cœur d’artichaut

    Cœur trop naïf, trop gros

    Qui s’écœure de barbe-à-papa

    De longues étreintes au cinéma

    Une pomme d’amour, tournez manèges

    Toujours plus, qu’il vente, qu’il neige

    Tout va trop vite je vais bégère

    J’veux sauter de ma montgolfière

    Que mon souffle a gonflé trop fort

    Pour voler un peu encore

    Mais le vertige vient, j’ai peur

    Déjà j’ai la tête qui tape

    Ma rétine pleure

    Mes poumons éclatent

     

     

    Mon oreille interne déconne

    Partout où je vais-je me cogne

    Pupilles brouillées tout se voile

    Eméchée je scotche les étoiles

    Le prince s’en va, je dessaoule pas

    Je reste avec la gueule de bois

    Petite poupée de porcelaine

    Faut croire qu’t’en valais pas la peine

    Mais t’es pas si fragile que ça

    Tu te fissures, tu te brises pas

     

     

    Faut dire, j’ai quand même un peu mal

    Et pas seulement à l’encéphale

    Il me faudrait un nouveau cœur

    Un qui batte aime et pleure

    Le mien est criblé de toutes parts

    Il prend froid, c’est une vraie passoire

    Un filtre usagé et sale

    Mais qui essaie tant bien que mal

    De retenir quelques grains de sables

    Quelques sourires, quelques fables

    Un mot juste, un doux murmure

    Une parole en l’air, une voix dure

    Le poids des mots est un supplice

    Et les béances s’élargissent

    Mon cœur rongé se désagrège

    De grâce que vienne un sortilège

    Un beau chirurgien cardiologue

    Ou un magicien d’apologue

    Qui saura guérir mon organe

    Que plus jamais mon cœur ne fane

     

     

    C’est l’histoire d’un cœur

    D’un cœur qui bat

    Toutes les histoires commencent comme ça

    Avec un cœur planté dans un embryon de chair

    Là enfoui au creux d’un ventre chaud

    Un petit cœur pas plus gros qu’une tête d’épingle

    Qui battra plus ou moins vite, plus ou moins fort

    On ne naît ni libre ni égaux, ni à peine différents

    On sera jamais original, jamais banal non plus

    On est l’histoire d’un cœur qui bat

    De tout ce qu’il est plein

    Qui se serre de tout ce qu’il est vide

    Et qui sent penché sur lui un orage protecteur

    Tous ces petits cœurs battant

    Comme une force sourde qui lui dit

    Bat plus fort





     


     

    érosion littéraire

    26/08/2007 17:29



    A demi-mot : « je t’aime »

    Un mot de trop le voilà qui saigne

    « Je t’aime » se meurt, il dépérit

    On l’a trop répété, trop dit

    Et on l’a chanté tous en cœur

    Comme s’il suffirait au bonheur

    Pauvre « je t’aime » ce patrimoine

    Ce mot-nument qui monte à l’âme

    Trop de « je t’aime » insensés

    Le petit mot est mortifié

    « Je t’aime » « je t’aime » « je t’aime »

    Comme un rempart contre la haine

    Mais l’arme s’élime et se brise

    Voilà que « je t’aime » agonise

    Analphabètes, on manque de mots

    Pour dire nos sentiments, nos maux

    Il vaudrait mieux se taire parfois

    Plutôt que de braire à tout va

    Une phrase qui perde de son sens

    Et nous résoudre à un silence

    Car à force d’être abusés

    Nos « je t’aime » sont discrédités

    Nos « je t’aime » se font exsangues

    Ils deviennent fades sur nos langues

    La faute aux lacunes françaises

    « Je t’aime » fait dire tant de foutaises

    Te quiero n’est pas si puissant

    Il désire bien plus qu’il ne ment

    Et puis pour faire passe partout

    Il y a l’anglais « I like you »

    « Je t’aime » est bien trop excessif

    En faire l’usage est abusif

    Mais on est tous bien maladroit

    On le dit, on le pensait pas

    Alors comme se témoigner

    Toute l’affection qu’on peut s’porter

    Je t’adore c’est exagéré

    Juvénile et rempli d’excès

    Plus conventionnel : je t’apprécie

    Ca fait bien propre et bien poli

    Mais me voilà désemparée

    Pour te dire ce que je voudrais

    Les lèvres sèches, la tête vide

    Je prends part au palabricide

    Du mot souffrant et amoindri

    « Je t’aime », voilà, c’est dit.





     


     

    je t'ai...

    23/08/2007 20:40



    J’t’ai dans les yeux

    Mais si, approche, regarde mieux

    Je sens que ma cornée est humide

    Crois moi je veux rester placide

    Mais j’t’ai dans l’œil comme une poussière

    Qui excite mon globe oculaire

    Tu vois maintenant dans l’fond d’l’iris

    Tu vois cette flotte que mes yeux pissent

    Je sens que ma rétine déborde

    Que toutes mes paupières sabordent

    Voilà que mes pupilles trahissent

    Que sur ma joue une larme glisse

    Je t’ai dans l’œil, regarde bien

    Tu vois pas que je chiale crétin

     

     

    J’t’ai dans la tête toute la journée

    Je fais mes emplettes l’air concentré

    Mais il y a ton nom à la radio

    Sur le badge du mec de Mc Do

    Les fast food me réussissent pas

    Je sors marcher où vont mes pas

    Pour faire le vide, pour plus penser

    Changer d’air et changer d’idées

    Mais… j’t’ai dans la tête comme une chanson

    Comme une rengaine, comme une leçon

    Un théorème, une phrase par cœur

    Que l’on récite avec lenteur

    Le poids d’un corps est la force

    D’attraction exercée par la Terre sur ce corps

    Cette force est verticale, orientée vers le bas

    Et appliquée au centre de gravité G

    Sa valeur s’exprime en newton.

    Je t’ai gravé dans mon cerveau

    Comme dans un tronc au couteau

    Mon encéphale est saturé

    J’perds la raison, je perds mes clés

    Le trousseau qui ouvrait mes rêves

    Alors je dors plus et j’en crève

    Tu claques la porte je claque tout court

    Le rêve avorte mais moi j’accours

    J’aurais du faire un double des clés

    J’suis cadenassée dans mes pensées

    Enfermée comme entre quatre murs

    Je t’ai dans la tête, comme blessure

     

     

    J’t’ai dans la peau

    Et sur mon corps et dans mes trippes

    Cet urticaire démange, m’irrite

    De l’exéma qui se propage

    Et un ulcère à l’œsophage

    J’t’ai dans la gorge j’peux plus parler

    Mes lèvres sont tétanisées

    T’es mon herpes ma scarlatine

    T’es la varicelle qui me mine

    La sclérose sur chacun de mes pores

    La syphilis qui me tord

    J’t’ai sur la gueule en plaques d’acné

    Eparses rouges et boursoufflées

    Qui suintent, qui saignent sur mon visage

    L’adolescence fait des ravages

    (Je t’ai dans l’cul, regarde connard

    Quand j’pense à toi j’marche en canard) > petit égarement lyrique

    J’t’ai dans la peau comme une caresse

    Ou comme la main qu’on met aux fesses

    J’t’ai dans la peau comme un frisson

    Comme une fièvre de nourrisson

     

     

    Je t’ai dans l’cœur tu comprends pas

    Mon cœur qui pleure, qui bat, qui bat

    Et oui ça lance, ce cœur qui bat

    Et sonne le glas de mon trépas

    Comme un tambour, comme un gong

    Qui scande chaque coup comme claque une tong

    Chaque seconde que le temps aiguille

    Et qu’il aiguille mes ventricules

    Et qu’il aiguille mes oreillettes

    Mais après tout je suis une fille

    J’ai bien le droit d’être ridicule

    Si les amoures sont désuètes

    J’t’ai dans le cœur comme un souffle

    Comme du vent dans les amarres

    Dans cette bourrasque je m’étouffe

    Putain arrête toi connard!

    Tu vois pas que j’ai un souffle au cœur

     

     

    Il y a des lois des corps que la physique ne connaît pas:

    Le poids d’un corps est la force d’attraction

    Exercée par les yeux sur ce corps

    Cette force est verticale, orientée vers le haut

    Et appliquée au point G

    Sa valeur s’exprime en fréquence cardiaque





     


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